Trois scènes principales :

— « L’ART D’AIMER » où l’on voit L’ouvrage tenu par l’éros, au centre de la scène présentant deux amies épiées.

— « LES AMANTS SURPRIS » d’après la gravure de René Gaillard (Musée du LOUVRE) où l’on voit tantôt un prêtre, tantôt un paysan épier des amoureux.

— « L’AGRÉABLE LEÇON » d’après la gravure de René Gaillard selon le tableau « L'Agréable leçon » de Boucher qui fut publiée en 1758 (Musée du LOUVRE). Elle devint l'une des estampes les plus utilisées dans le domaine des arts décoratifs

Les scènes secondaires sont tirées d’autres toiles de Beautiran dont « le retour du père prodigue ».

Trois scènes principales (L’ART D’AIMER, LES AMANTS SURPRIS, L’AGRÉABLE LEÇON), des scènes secondaires (MOUTONS, ENFANT VERRIER, MOULIN A EAU) et une multitude de petits motifs (BATEAU, ROCHERS, VÉGÉTATION) tous issus des toiles de Beautiran.

Les scènes principales sont tirées de la Toile de Beautiran « L’ART D’AIMER » gravées depuis le tableau de Boucher (1758).

Les dessins sont à la plume redessinés par Sophie de Boissieu pour retrouver la finesse des dessins d’origine. Les dessins deviennent de plus en plus bateaux à mesure que les outils d’impression s’usent.

Pierre Joseph Redouté, né au XVIIIe siècle (1759) sous le règne de Louis XVI, se distingue très tôt par la délicatesse de ses aquarelles botaniques de Fleurs. Marie Antoinette, très proche de la nature, lui offre en 1788 (il n’a que 19 ans) le titre prestigieux de dessinateur et de peintre du cabinet de la Reine. Il devint très vite peintre des Vélins de la collection du Muséum dont la tradition royale inaugurée par Louis XIV se poursuivra jusqu’à la Révolution française.

La délicatesse de ses aquarelles, la fidélité extraordinaire dans la représentation des fleurs et notamment des roses lui valut le surnom de « Raphaël des fleurs ».

Il meurt au XIX siècle, en 1840 pendant la monarchie de Juillet.

Le coloris noire confère à cette nappe toile cirée un air de second empire, NAPOLEON IIII

LE GRIS BLEU, un petit air de XVIIIe siècle

Trois scènes principales pour ce motif imprimé en 1792 par la Manufacture de BEAUTIRAN :

— « L’ART D’AIMER » où l’on voit L’ouvrage tenu par l’éros, au centre de la scène présentant deux amies épiées.

— « LES AMANTS SURPRIS » d’après la gravure de René Gaillard (Musée du LOUVRE) où l’on voit tantôt un prêtre, tantôt un paysan épier des amoureux.

— « L’AGRÉABLE LEÇON » d’après la gravure de René Gaillard selon le tableau « L'Agréable leçon » de Boucher qui fut publiée en 1758 (Musée du LOUVRE). Elle devint l'une des estampes les plus utilisées dans le domaine des arts décoratifs

Les scènes secondaires sont tirées d’autres toiles de Beautiran dont « le retour du père prodigue ».

C'est le grand retour  de la "Chinoiserie" dans la décoration et la mode.

Voici une couleur extrêmement délicate, un fond gris clair et des motifs entre orangé, ocre et vermillon.

Les motifs complexes et raffinés datant du XVIIIe siècle, font de cette toile cirée « chinoiserie » un élément décoratif de choix dans votre salle a manger. Le bleu-vert délicat s'harmonise avec  peu près toutes les couleurs que votre intérieur soit classique ou contemporain.

Dessin à la plume inspiré des fameuses gravures de Jean Pillement du XVIIIè siècle.

C'est le grand retour  de la "Chinoiserie" dans la décoration et la mode.

Original et osé, une toile cirée à fond rose pâle.

Du corail, du ficelle, du taupe font de cette nappe un décor subtil digne des appartements de Marie-Antoinette.

Les motifs complexes et raffinés datant du XVIIIe siècle, font de cette toile cirée « chinoiserie » un élément décoratif de choix dans votre salle a manger. Le bleu-vert délicat s'harmonise avec  peu près toutes les couleurs que votre intérieur soit classique ou contemporain.

Dessin à la plume inspiré des fameuses gravures de Jean Pillement du XVIIIè siècle.

Trois scènes principales pour ce motif imprimé en 1792 par la Manufacture de BEAUTIRAN :

— « L’ART D’AIMER » où l’on voit L’ouvrage tenu par l’éros, au centre de la scène présentant deux amies épiées.

— « LES AMANTS SURPRIS » d’après la gravure de René Gaillard (Musée du LOUVRE) où l’on voit tantôt un prêtre, tantôt un paysan épier des amoureux.

— « L’AGRÉABLE LEÇON » d’après la gravure de René Gaillard selon le tableau « L'Agréable leçon » de Boucher qui fut publiée en 1758 (Musée du LOUVRE). Elle devint l'une des estampes les plus utilisées dans le domaine des arts décoratifs

Les scènes secondaires sont tirées d’autres toiles de Beautiran dont « le retour du père prodigue ».